David Hamerman est architecte diplômé de l’Ecole Nationale d’Architecture de Montpellier (ENSAM) depuis janvier 2000. Il obtient un DEA en architecture et paysage à l’Institut d’Architecture de Genève (2002). Son parcours est jalonné par le voyage. Différentes destinations lui ont donné la possibilité de se confronter à d’autres regards et d’autres référents. Il a travaillé comme architecte et architecte paysagiste à Genève et New York et il fonde son atelier en 2005 à Montpellier. Son travail est orienté dans le sens d’un rapprochement de deux plateformes de conception que représentent l’architecture et le paysage. L’ensoleillement, l’ombre, la lumière, la matérialité et le rapport intérieur/extérieur sont les premières données qui lui permettent d’élaborer tout nouveau questionnement.
Il participe à l’enseignement du projet à l’ENSAM depuis 2009.
La mémoire … La mémoire et la mer … une chanson de Léo Ferré. Cette ville et ses formes qui viennent sertir la Méditerranée sont le témoignage d’une époque. Un moment de générosité où les vacances pour tous devenaient un projet. La ville traduit cela. Un territoire sauvage où la pensée est venue embrasser la nature pour la transformer en culture. Culture de l’espace construit … à travers la lumière, la forme et la matière. Un moment de liberté particulière où l’architecture et le paysage rentraient en résonance pour organiser une pensée, un moment d’architecture … vive.
D’une certaine façon, la Grande Motte est un festival, un lieu magique inondé par les symboles, une ode à la mer, au soleil et aux vents. Son principal concepteur, Jean Balladur a rêvé des pyramides qui de part leurs modénature symboliseraient le masculin et le féminin. Un peu plus aztèques qu’égyptiennes, il ne manquerait pourtant que Moïse pour venir ouvrir la mer en deux. Le pavillon est un hommage à cette pensée, amoureuse d’un site, d’une volonté d’offrir la nature à l’architecture et une vue sur la mer au plus grand nombre. La mer, les pins, et beaucoup d’acier, des dizaines de milliers de fils d’acier pour structurer, sculpter, mettre en mémoire le dessin d’une ville devenue culte. De l’acier… et quelques aiguilles de pins. Une onde que l’on traverse en quelques secondes, une vague d’acier qui viendra rythmer le pas du marcheur … Une ode à la mer, au soleil et aux vents.
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